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CARINE SIMON

QUI EST-ELLE ?

Prendre soin des autres

Fondamentalement intéressée par l’univers de l’autre, j’ai toujours eu ce désir d’aider, de communiquer, de prendre soin.

C’est donc tout naturellement que je me suis tournée vers des études d’infirmière.


J’ai exercé ce métier avec passion et dévouement pendant vingt-huit ans, à Strasbourg puis à Paris.

Infirmière
Sevrage anxiolytiques

TOMBER DANS LES ADDICTIONS

Si d’un côté je prenais soin des autres, ce n’était pas forcément mon cas concernant le domaine des addictions.

J’ai fumé ma première cigarette à l’âge de quatorze ans.

Au début de mon activité d’infirmière, j’ai beaucoup travaillé de nuit, avec cette difficulté à trouver le sommeil la journée.

J’ai donc commencé à prendre des calmants pour dormir, comme solution de facilité.

Et enfin, en bonne alsacienne adepte de la bonne chair, je suis tombée dans l’addiction au sucre ajouté, présent un peu partout dans mon alimentation.

SORTIR DES ADDICTIONS

Perturbée par le stress, le manque de personnel et le manque de temps pour prendre soin des mes patients en milieu hospitalier, je me suis très vite orientée vers un exercice libéral, plus proche des gens et de mes valeurs.

Avec ce travail de jour, j’ai entamé mon propre sevrage des calmants, que je prenais par habitude pour dormir.

Ce sevrage aura été ma première expérience du manque physique et psychique, entre le besoin et l’habitude.

sevrage psychotropes

PRISE DE CONSCIENCE

C’est aussi à cette époque que j’ai pris conscience des effets secondaires trop importants de certains médicaments distribués à mes patients. Je commençais aussi à découvrir l’univers des médecines parallèles et des trésors que nous offre la nature pour prendre soin de nous.

Tant bien que mal, j’ai réussi à exercer mon métier d’infirmière libérale en restant cohérente avec mes choix, limitant au maximum mon contact avec les médicaments.
Même si j’ai eu quelques conflits avec le corps médical, j’ai trouvé quelques médecins avec qui j’ai pu mettre en place des soins à l’argile et utiliser quelques remèdes naturels pour mes patients, avec de bons résultats.

arrêter le sucre

ARRÊTER LE SUCRE

Mon deuxième sevrage aura été celui du sucre ajouté. En surpoids à cette époque, j’étais particulièrement allergique au mot « régime », associé à privation et frustration.

Finalement, j’ai fini par tester « pour voir » ce rééquilibrage alimentaire qui consistait simplement à éliminer au maximum le sucre ajouté.

J’ignorais à l’époque le pouvoir addictif et destructif d’un tel « aliment ».

J’ai donc une fois de plus goûté au manque physique pendant quelques jours, mais aussi à cette incroyable énergie retrouvée une fois libérée de ce poison.

ARRÊT DU TABAC : LE CALVAIRE

Et enfin, mon troisième et dernier sevrage aura été celui du tabac, après trente-deux années de vie commune avec « ma meilleure ennemie ».
Ce sevrage a été de loin le plus traumatisant et le plus douloureux. Avec une volonté sans faille, je me suis lancée dans ce sevrage sans aucune aide ni aucun remède, imaginant que ma détermination seule viendrait à bout de toutes les difficultés. Et ça a été le cas. Mais si c’était à refaire, je ne m’y prendrai plus de la même façon. 

Parce que j’ai vécu ce sevrage comme un deuil, dans le chagrin et la déprime, auxquels se sont rajoutées les souffrances du manque physique, le manque du geste et une importante prise de poids.

arrêter de fumer

NAISSANCE D’UNE VOCATION

De cette expérience douloureuse m’est venue l’envie de m’intéresser de plus près au domaine du sevrage tabagique.
Je me suis formée à la méthode chiapi, technique traditionnelle chinoise utilisée à l’origine pour le sevrage de l’opium.

Débordant d’enthousiasme pour cette nouvelle activité, j’ai vite déchanté en réalisant ma totale inaptitude en marketing. Alors que j’avais de l’or dans les mains, je ne savais absolument pas comment trouver mes clients.

J’ai passé les sept premières années à faire et refaire mon site Internet, des articles de blog, des vidéos sur YouTube, des articles pour la presse, des distributions de prospectus etc.
Et au final, j’ai dépensé beaucoup d’énergie pour trois à quatre clients par mois, alors que je rêvais de mettre fin à mon activité d’infirmière pour me consacrer uniquement à cette nouvelle activité.

FORMATION EN SEVRAGE TABAGIQUE

Dès ma deuxième année de pratique, j’ai commencé à former des thérapeutes, coachs et praticiens en bien-être en sevrage tabagique. A cette époque, ma formation ne concernait que la méthode chiapi.

Sans utilisation d’aiguilles d’acupuncture, je l’ai enseigné uniquement au laser (soft laser ou laser froid) et à l’acupression.

formation sevrage sucre

Une méthode de sevrage multi techniques

J’ai pratiqué la méthode chiapi seule pendant quelques années, jusqu’au moment où j’ai réalisé qu’il y avait une différence entre deux objectifs possibles :

  • Éliminer juste le manque physique de tabac, avec potentiellement 59,99 % de réussite sur 3 mois, comme l’étude faite en milieu hospitalier par le Dr Réquéna, mais aussi 40,01 % d’échecs
  • Ou mettre en place une méthode plus complète pour augmenter autant que possible ce taux de réussite et diminuer ce nombre d’échecs.

C’est à ce moment-là que j’ai commencé à établir une liste de toutes les difficultés, souffrances et frustrations liés à l’arrêt du tabac, et à rechercher toutes les solutions et les outils possibles pour les éliminer ou les soulager.

En plus de l’acupuncture au laser pour éliminer le manque physique, j’ai rajouté quelques des remèdes naturels particulièrement intéressants pour gérer le manque psychique et la prise de poids.
J’ai commencé à mettre l’accent sur l’éducation du fumeur, afin qu’il comprenne tous les mécanismes de cette addiction, qu’il puisse les maîtriser, les assumer et de ce fait, éviter autant que possible les récidives, du fait d’avoir suffisamment de connaissances à leur sujet. 

Ce n’était qu’avec une méthode multi techniques que j’ai pu enfin obtenir plus de réussites qu’avec la méthode chiapi seule.  

Marketing et développements

Après ces sept années de galère en termes de clientèle, j’ai accepté avec beaucoup d’anxiété une offre commerciale incluant un site Internet plus professionnel et des publicités.

J’ai pu enfin décoller avec vingt clients par mois, puis une quarantaine grâce au bouche-à-oreille qui fonctionnait particulièrement bien entre ex fumeurs et fumeurs en quête de solutions.   

2016 a été l’année de tous les changements. J’ai mis fin à mon activité d’infirmière, et j’ai quitté Paris pour revenir chez moi en Alsace.

Avec toutes les formations en marketing que j’avais suivies, j’ai pu reproduire moi-même cette offre commerciale qui m’avais permis de décoller. 
Grâce à ces aptitudes supplémentaires, je suis devenue une cheffe d’entreprise prospère et épanouie.

2016 a aussi été l’année où j’ai mis en place mes deux autres méthodes :

  • « Diétisanté » pour le sevrage du sucre ajouté
  • « Stress et Dépression » pour  la gestion du stress 

ADDICFREE©

Il aura fallu attendre 2020 et cette crise sanitaire pour que je prenne le temps de faire de toutes mes méthodes une vraie formation de praticiens en sevrage.

La formation de praticiens en addiction Addicfree© a été finalisée en août 2020.

formation addicfree